Paru le: 30-10-2020
Editeur: Les éditions Au Pays Rêvé
Isbn: 978-2-919342-66-2
Ean: 9782919342662
Prix: 20 €
Caractéristiques:
262 pages
Genre: Littérature générale
Thème: Litterature
Thèmes associés:
Le futur a déjà eu lieu
C’est le commencement, le monde est à repeindre, l’herbe veut être verte, elle a besoin de mes regards.
Chercheuse curieuse ascendant rêveuse a d’abord exploré l’univers des sciences. Son doctorat de recherche pharmaceutique en poche, et quelques coups d’œil dans le microscope plus tard, elle se rend compte que l’envie d’écrire a germé dans son conscient. Chacun de ses romans est conçu de façon à susciter la réflexion du lecteur. Son jeu favori: mêler subtilement les mondes ou les époques afin que le réel n’apparaisse jamais tel qu’on peut le concevoir. Funambule sur cet entre deux mondes, mais aussi poète à la belle étoile, elle espère qu’une fois le livre fermé, le lecteur, à son tour, parte en quête du sens caché de l’existence.
Au cœur d’un cercueil de verre, R3019 se réveille dans un hôpital perdu dans une ville sans âme, un monde sombre qui s’étale en tunnels et galeries. R3019 a perdu son nom : son amnésie a voyagé dans le temps et il ne se souvient plus de sa vie. Venise, sa ville natale va petit à petit revenir à sa mémoire de façon douloureuse et réveiller des lam- beaux de souvenirs pour le confronter à la dure réalité de son présent. La représentation d’une célèbre gravure de Flammarion va ressortir du fin fond des siècles et devenir la clé de son renouveau. En allant vers le soleil, le rêve fou d’un espoir va germer en lui, celui de créer l’aube d’un nouveau Monde : l’Amour, l’amitié, la science et l’Histoire se mêleront intimement pour l’aider dans son combat pour une nouvelleAu cœur d’un cercueil de verre, R3019 se réveille dans un hôpital perdu dans une ville sans âme, un monde sombre qui s’étale en tunnels et galeries. R3019 a perdu son nom : son amnésie a voyagé dans le temps et il ne se souvient plus de sa vie. Venise, sa ville natale va petit à petit revenir à sa mémoire de façon douloureuse et réveiller des lambeaux de souvenirs pour le confronter à la dure réalité de son présent.
Le plafond paressait si loin qu’il en eut le vertige. Il regrettait presque d’avoir eu cette incommensurable force d’ouvrir enfin les yeux. Le regard fermé, ses cils avaient soudé ses rêves en une couleur uniforme plus proche de la nuit sombre que du soleil d’été épanoui. A cet instant il aurait donné cher pour se retrouver allongé dans un pré la tête dans l’insouciance à compter les nuages et à leur inventer des formes étranges. Tout son corps et toute son âme convergeaient vers cette idée saugrenue, peut-être juste pour se donner la force de surmonter l’impensable et l’inacceptable.